Ethan • i will never give up on you

 

C'est toi ! Bonjour ou Bonsoir ! Moi c’est Ethan McGarett, mais vous pouvez également m’appeler Than. Je suis âgé de 477 ans, et ma date de naissance est 25 Août 1540. D’ailleurs si tu veux tout savoir, j’ai vu le jour à Bienne, Suisse et dans la vie de tous les jours je suis hétérosexuel. Avant ma mort, j’étais chasseur, maintenant je suis professeur d'histoire et je dois dire que j'aime beaucoup. Je me rends utile.. J’ai rejoint le monde d’Hadès le 18 Mars 1569. Lors de mon arrivée, j’ai cru que j’allais de nouveau hurler, car on m’a encore une fois comparé à Greyston Holt. Il faut dire qu’on se ressemble plutôt bien. Pour terminer, j’avouerai que je fais partie des souvenirs, depuis que je suis arrivé(e).

Dis-en nous plus !

Bon apparemment, il faut que je vous parle un peu de moi, comme vous êtes des curieux. Alors ce qu’il y a à savoir … Déjà, je suis Drôle, gentil, fidèle, généreux et attentif aux autres. Mais également sarcastique, râleur, trop travailleur, colérique et cache facilement mes sentiments. Maintenant que vous me connaissez un peu mieux, je peux vous dire que j’aime prendre des douches plus que des bains, les jeux vidéos, la nourriture japonaise, surtout les sushis et travailler et je déteste les mensonges, ne pas me souvenir de ma vie d'avant, être de correction pendant les vacances et devoir servir de baby-sitter au fils de ma voisine. Mais je ne dirais rien de plus, afin de garder un minimum de mystère !

Behind the Screen

Pseudo/Prénom: Elinou ღ Age: 29 ans ღ Comment es-tu arrivé(e) ici: Je suis la joueuse de Grace ღ Ton personnage est: inventé ღ Désires-tu un parrain/marraine : Nop' ^^ ღ Autre chose à dire ?: Love on you

By Soso

Les livres d’histoire ont tous une vision des choses bien différente de ce que fut la Renaissance. J’aime me plonger dans ces livres, cela me permet d’avoir une vision de ce que fut ma vie à cette époque. Il est très difficile pour moi de parler de ma vie avant Hadès Town… Non pas que cela soit un souvenir douloureux car il faudrait déjà que cela soit un souvenir. Je ne me rappelle pas de qui j’étais, de ce que je faisais et encore moins de ce qui m’a conduit aux enfers. Mais je pense que si je suis ici, c’est que je l’ai mérité et je l’accepte. La seule chose dont je me souviens, c’est que je vivais dans un petit village nommé Bienne. J’étais le petit dernier d’une famille comptant déjà trois enfants. J’avais un grand frère et deux grandes sœurs. Autant vous dire que si je fus choyé et aimé par mes deux sœurs, réciproquement sept et cinq ans à ma naissance, mon grand frère âgé de dix ans m’en fit voir des vertes et des pas mûres… Il tenta de me perdre dans la forêt alors que j’avais deux ans. Heureusement, une de mes sœurs veillait sur moi comme sur la prunelle de ses yeux et elle me ramena à la maison. Je n’ai jamais compris pourquoi mais finalement, tout a fini par s’arranger quand j’ai grandi. La vie à Bienne n’était pas simple, les hivers étaient rigoureux mais nous avions la chance d’avoir une maison où nous pouvions nous mettre ensemble pour nous tenir chaud. Mon père était un grand chasseur et ce fut logiquement que je suivis ses traces. J’avais douze ans quand je l’accompagnais pour la première fois à la chasse, tenant ses armes pendant qu’il traquait les animaux pour nous permettre de manger. Je devins réellement chasseur à seize ans et c’est alors que je fis sa rencontre.

Elle était magnifique… A peine âgée de quinze ans, je ne parlais pas souvent avec Saskia. Sa mère était spéciale et mes parents m’avaient toujours interdit de parler avec la fille. Et pourtant, ce n’était pas l’envie qui m’en manquait. Son regard bleu ensorcelant, ses longs cheveux blonds… Elle était superbe mais j’ignorais encore qu’elle allait causer ma perte, bien des années plus tard. Timidement, comme un vrai adolescent, j’entamais la discussion avec elle. On devint rapidement amis tous les deux. Et puis, je finis par me rendre compte que j’étais tombé amoureux d’elle, de ce qu’elle était. J’avais vingt-deux ans quand on commença une petite histoire. J’étais persuadé que cela ne durerait que le temps de le dire, parce que nous étions obligés de nous cacher. Des soupçons de sorcellerie planaient sur la mère de la jeune femme et je savais que je serais mal vu si l’on m’apercevait en compagnie de Saskia. Et pourtant, notre histoire dura six ans. Six belles années d’amour et de péchés, je devais également le reconnaître. J’avais beau savoir que l’amour n’était pas accepté hors mariage, je ne pouvais pas résister aux courbes de Saskia, à l’envie de glisser mes doigts dans ses cheveux pendant que j’embrassais sa gorge. Je savais ce que la jeune femme risquait si l’on découvrait qu’elle n’était plus vierge le jour de son mariage, si on l’obligeait à épouser un autre homme. Alors, un soir, j’eus une idée. J’avais 28 ans, Saskia en avait 27, nous étions assez grand pour décider par nous-même. Je me fichais du regard des autres désormais, j’aimais la jeune femme et je ne voulais qu’elle. Je voulais lui faire une surprise, je voulais aller voir son père et lui demander l’autorisation d’épouser sa fille. Je voulais me marier avec Saskia, avoir ma famille avec elle… Mais le destin en décida autrement.

Alors que je comptais aller voir le prêtre de Bienne pour lui demander sa bénédiction, je le vis sortir en courant de son église, suivi du reste des habitants de notre petit village. Je ne compris pas ce qu’il se passait mais je remarquais bien vite mon frère dans la foule. Je me dépêchais de le rejoindre, lui demandant ce qu’il se passait. Il me demanda d’attendre, que j’allais rapidement comprendre. On arriva rapidement à un pseudo tribunal et l’on me prévint qu’une sorcière avait été arrêtée. Je tombais des nues en voyant Saskia, ma Saskia arriver. Je ne voulais pas croire que mon aimée puisse être une sorcière… Mais je me laissais convaincre par les pseudos preuves avancées par l’accusation, d’autant que mon frère en faisait partie. Je pensais pouvoir avoir confiance en mon frère, qu’il ne chercherait jamais à me manipuler… J’aurais dû me rendre compte qu’il faisait cela dans l’unique but de me faire souffrir, dans l’optique que je perde à jamais la personne qui m’était le plus cher. Parce que lui aussi avait voulu Saskia. J’ignorais comment il avait pu savoir mais il avait appris que nous étions ensemble. En réalité, il m’avait toujours détesté et cela ne changerait jamais. La sentence tomba à l’unanimité et la jeune femme fut condamné à mourir sur le buché. Mon frère exigea que je sois celui qui la conduirait à la mort. J’acceptais, persuadé que la jeune femme que j’aimais était une sorcière. Mais étais-je réellement amoureux? Ne m’avait-elle pas plutôt ensorcelé? Une fois la sentence rendue, je me dirigeais donc vers la jeune femme… Qui n’acceptait pas spécialement le sort que nous lui réservions. Et elle se chargea de me le faire comprendre. Insulter et cracha volèrent dans ma direction de la part de la jeune femme. Je ne la reconnaissais plus et cela me conforta dans l’idée qu’elle était une sorcière. Je l’attachais moi-même sur le tas de bois et alors que j’allais pour m’éloigner, elle cria quelque chose qui me glaça le sang. Elle disait être enceinte. Mais il était trop tard, le buché avait été allumé et le bois brulait déjà autour de la jeune femme. Ce fut la mort dans l’âme que je la regardais mourir, ses cris glaçant se répercutant dans mon esprit et mon âme. Ils me hantèrent longtemps.

Pendant un an, j’essayais d’oublier Saskia, de ne pas penser à elle. Mais je me réveillais souvent la nuit, en proie à des cauchemars où je revoyais la mort de la jeune femme, ses cris venant se mêler à celui que je poussais moi aussi en me réveillant. Je n’arrêtais pas de penser aux derniers mots que mon aimée avait pu avoir… Etait-elle réellement enceinte quand elle était décédée? Et si oui, de qui? La logique aurait voulu que je sois le père de son enfant mais pouvais-je réellement faire confiance à une femme accusée de sorcellerie? Mon salut arriva en Mars 1569. Nous avions encore eu un hiver difficile et la neige n’avait toujours pas cessé de fondre. Pour preuve, il neigeait encore ce jour-là alors que j’étais parti à la chasse. Je traquais un chevreuil dans la forêt quand j’entendis une branche craquer derrière moi. Me retournant, je n’eus le temps que de voir le visage du père de la jeune femme alors qu’un coup de feu retentissait.


Fixant le ciel au-dessus de moi, je ne ressentais rien. Je me souvenais vaguement du coup de feu du père de Saskia mais m’avait-il touché? Je ne ressentais aucune douleur, je ne ressentais plus rien pour être honnête. Je me redressais alors, incapable de comprendre ce qu’il venait de se passer. Me retrouvant debout, je touchais mon corps pour comprendre quand j’eus un sombre pressentiment. Tournant la tête, je me vis alors couché au sol, un filet de sang coulant de ma bouche alors qu’une tache sombre s’élargissait sur ma poitrine. Cet homme m’avait tiré dessus et m’avait tué. Je disparus rapidement après, ne sachant pas si mon corps avait été retrouvé et si j’avais eu droit à un enterrement décent. Mais le méritais-je réellement? Pas sûr. J’arrivais rapidement à Hadès Town mais je n’étais plus le même homme. Mes souvenirs de ma vie, de mes actes passés, de ma mort… Tous c’étaient envolés. Je vécu un certain temps dans un hôtel avant de trouver une petite maison. Avec le temps, je me découvris une réelle passion pour l’histoire. Je décidais alors de faire des études pour devenir professeur. Ce fut difficile, je faillis plus d’une fois baisser les bras mais quelle joie d’apprendre que j’étais finalement devenu professeur d’histoire. C’était une consécration pour moi, de pouvoir apprendre l’histoire à des élèves alors que je ne me souvenais pas de la mienne. Peut-être qu’inconsciemment, je cherchais à me souvenir de qui j’avais pu être en me plongeant dans l’histoire… Mais cela n’arriva pas. Je fus rapidement embauché par le lycée d’Hadès Town pour donner des cours. Je fis la rencontre d’un homme à peine plus âgé que moi en apparence, qui me prit sous son aile. Il me fit rencontrer mes différents collègues et notamment l’infirmière de l’établissement… Autant être honnête tout de suite, cette femme ne m’aime pas. Elle refusa de me serrer la main et me lança un profond regard noir avant de tourner les talons. J’étais perplexe, perdu. Je n’avais pas reconnu Saskia, l’amour de ma vie, tout simplement parce que je l’avais oublié. Cela fait désormais plus de quatre cent ans que je suis mort, que j’habite à Hadès Town. Je vis toujours dans ma maison du quartier Artémis et je dois dire que j’aime cette vie. Les cours au lycée ont bien changé avec l’avancée historique et cela ne ressemble plus aux cours que je pouvais donner à mon arrivée. Une chose n’a pas changé là-bas, la haine que peut me vouer l’infirmière. Je n’ai toujours aucun souvenir d’elle ni même de ma vie quand j’étais vivant mais je fais avec. J’ai appris à vivre avec les regards noirs et l’ignorance de la jeune femme… Mais même si je vis avec, je le vis très mal. Car cette jeune femme me plait plus que de raison. Elle m’attire douloureusement car je sais qu’il ne pourra jamais rien y avoir entre nous. La mort suit son cours en quelque sorte.

Félicitations, tu es pleinement des nôtres maintenant! Tu peux dès à présent réserver ta petite bouille, afin que personne ne te la pique. Mais également demander un logement et un métier, parce que travailler et dormir c'est important. Tu peux te faire des nouveaux copains et nous raconter ta vie dans la zone des récapitulatifs des rps.
Si jamais l'envie te prend ou qu'il te faut quelqu'un de précis pour pimenter ta vie, tu peux également créer un scénario ou un pré-lien également. (N'oublie pas dans ce cas de réserver également sa tête dans le bottin!) Et tu peux également aller faire tes demandes, afin de pouvoir récupérer quelques points par exemple!
Si jamais tu as une question, hésites pas à la poster en partie zone des invités ou à contacter le Staff. On se fera un plaisir de te répondre!
Nous te souhaitons un bon jeu parmi nous et à bientôt !